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Les conceptions de conduite du noyer ont beaucoup évolué ces dernières années, avec l’arrivée de matériel végétal nouveau (variété à fructification latérale, porte-greffe vigorisants multipliés in vitro) mais également du fait de l’intensification et de la rationalisation de la culture. Là où autrefois une noyeraie était plantée pour produire au bout de 12 à 15 ans, les contraintes économiques font que cette situation n’est plus possible aujourd’hui.
Outre les maladies déjà présentes dans les vergers de noyer (bactériose, anthracnose), de nouveaux pathogènes se développent (Colletotrichum) augmentant les risques de pertes de rendement. La poursuite des investigations et l’adaptation des modes de recherches sont indispensables pour connaître les facteurs favorisants et proposer des moyens de lutte efficaces.
Accès à la partie « maladies »
On distingue plusieurs niveaux de nuisibilité en fonction de l’effet direct sur la culture, de la fréquence des attaques ou de leur intensité. Sur la base de ces critères, les ravageurs peuvent être classés en trois catégories : « majeurs », « secondaires » ou « occasionnels ». Le développement des nouvelles technologies et la généralisation du biocontrôle apportent de nouvelles solutions économiquement viables et durables.
Accès à la partie « ravageurs et auxiliaires »
Les conceptions de conduite du noyer ont beaucoup évolué ces dernières années avec l’arrivée de matériel végétal nouveau mais également du fait de l’intensification et de la rationalisation de la culture. Le retour sur investissement doit intervenir rapidement après la plantation et une récolte régulière et de qualité permettra d’approvisionner un marché toujours plus difficile et concurrentiel.