Ainsi, l’AB s’interdit l’utilisation de produits chimiques de synthèse et d’OGM. Cependant, lorsque ces méthodes se révèlent insuffisantes pour empêcher le développement des ravageurs et/ou des maladies, il est parfois nécessaire d’avoir recours à des méthodes curatives.

Elle tend donc vers une agriculture globale qui :

• préserve les équilibres naturels du sol et des plantes,
• favorise le recyclage des résidus végétaux et des déjections animales,
• recherche le maintien voire l’augmentation de la fertilité et de l’activité biologique des sols,
• privilégie la prévention, la maladie n’étant considérée que comme le signal d’une situation de déséquilibre : l’objectif étant avant tout de comprendre ces signes et d’en éviter l’apparition,
• préserve la biodiversité et respecte les paysages,
• et adapte son choix d’espèces animales et végétales aux conditions naturelles.