L’évaluation prend en compte plusieurs scénarios d’exposition : selon si l’exposition a lieu dans la culture traitée ou sur la culture suivante, sur les adventices en fleurs dans la parcelle ou dans les zones autour de la parcelle, et selon les voies d’exposition (contact, ingestion). Quatre types de risque sont ainsi évalués après une exposition aigu et chronique, par contact et par voie orale, chez l’adulte et la larve.

Les effets sublétaux (ex. : échec de retour à la ruche) sont également considérés. Pour les abeilles sauvages, faute de données, une méthode par défaut extrapole les résultats des abeilles mellifères avec des incertitudes. Cette révision attendue représente une avancée pour mieux protéger les pollinisateurs en Europe.